Inhalt

]

L’ancrage pro­fes­si­on­nel d’un cad­re en bois exi­ge du char­pen­tier des con­nais­sances sta­ti­ques sur les forces dans les vit­res mura­les, les distances des joints et des con­nais­sances sur les joints en bois incir­con­cis. En outré, il dev­rait savoir quel­les forces sup­p­lé­men­tai­res peu­vent résul­ter d’un rac­cor­de­ment non adroit. Lors de l’assemblage d’un mur déjà fer­mé et en l’absence de seuil indi­ca­tif, com­me c’est le cas dans la con­s­truc­tion pré­fa­bri­quée, il doit donc veil­ler à un ancra­ge minu­ti­eux de trac­tion et de poussée.

]
]

Charge 1 : charge au niveau de la paroi


Dans le cas d’une char­ge de vent hori­zon­ta­le sur le fron­ton avec trans­mis­si­on par le pare-pla­fond vers les paliers de char­ge, de gran­des forces ver­ti­cal­es de pres­si­on et de trac­tion appa­rais­sent sou­vent sur les bords de vit­res étroi­tes ou mura­les inté­ri­eu­res. En par­ti­cu­lier, les forces de trac­tion qui se pro­dui­sent en direc­tion mura­le en com­bi­nai­son avec la pous­sée doi­vent être ancrées en tou­te sécu­ri­té. Ces char­ges sont réci­pro­ques. Cela signi­fie qu’un ancra­ge de trac­tion et de pous­sée doit être éta­b­li sta­ti­quement sur les deux bords de la vit­re mura­le. Cepen­dant, il n’est pas pos­si­ble de dédui­re les forces de pous­sée par frot­te­ment en rai­son des câbles de mon­ta­ge existants en des­sous du seuil. Un sous-mor­ti­fi­ca­ti­on avec des mor­tier source ne peut pas non plus résoud­re le pro­blè­me de poussée.


Cas de charge 2 : charge transversalement au plan de la paroi


Les char­ges de vent de la pres­si­on et de l’attraction doi­vent éga­le­ment être éva­cuées par des ancra­ges. Pour la déter­mi­na­ti­on pré­cise des forces d’ancrage des trains, qui tien­nent comp­te éga­le­ment du poids pro­pre de la con­s­truc­tion, dif­fér­ents pro­gram­mes de sta­tique sont dis­po­nibles sur le marché.B. « Dia­mo- Wind ». Le char­pen­tier doit tou­jours fai­re le choix d’un ancra­ge appro­prié avec le sta­tis­ti­ci­en responsable, et pas seu­le­ment pour des rai­sons de responsa­bi­li­té. On ne peut que mett­re en gar­de cont­re la solu­ti­on qui con­sis­te sim­ple­ment à enle­ver les forces de trac­tion et de pous­sée dans la zone de seuil avec un ang­le de côtes et de longs clous. Cet­te affai­re est indé­tec­ta­ble sta­ti­quement et donc pré­oc­cu­p­an­te. Le pro­blè­me est le sui­vant : si les char­pen­tiers dépo­sent un ver­re dans le pan­neau OSB et le fixent avec des clous à tra­vers la plaque sur le man­che en bois sous-jacent, il faut d’une part respec­ter les distances de bor­du­re néces­saires par rap­port à la plaque OSB. D’autre part, l’accrochage de la plaque OSB avec la tige dans la zone de ver­re doit être démon­tré. Sta­ti­quement, la tige joue le rôle de por­te-bor­du­re d’un champ de pous­sée. La force de trac­tion existan­te ou, selon l’attaque de char­ge, se trouve donc tou­jours dans la tige et doit être déver­sée dans le ver­re par l’intermédiaire de la posi­ti­on inter­mé­di­ai­re de l’OSB.

]

Unité et deux coupures


D’un point de vue sta­tique, cet­te con­ne­xi­on n’est pas à deux sec­tions, mais à deux repri­ses. Ce n’est qu’en cas de digu­la­ti­on de la plaque avec la tige que ce rac­cor­de­ment serait clai­re­ment cir­con­cis. De nombreux fabri­cants recom­man­dent un dégla­ça­ge puis­sant de la plaque OSB avec la tige au-des­sus des ver­res, afin d’enclencher pré­ala­blem­ent la force de trac­tion dans la plaque OSB. Cela signi­fierait tou­te­fois que la plaque OSB dev­rait être détec­tée jus­te au-des­sus de l’extrémité du ver­re pour la trac­tion entiè­re­ment ori­en­tée vers le haut. Le pro­blè­me se pose lors­que la posi­ti­on inter­mé­di­ai­re n’est pas com­po­sée de plaques OSB, mais de plaques de fibres de plât­re (par exemple.B Fer­macell). Les ancra­ges de train con­nus jusqu’ici se heur­tent à leurs limi­tes sta­ti­ques lors de l’introduction de forces de pous­sée sup­p­lé­men­tai­res issues de la char­ge 1, qui se pro­dui­sent tou­jours en com­bi­nai­son avec la force de trac­tion. C’est-à-dire qu’ils écla­tent ou éclatent.


La fragmentation de la force résout les problèmes


Une solu­ti­on à ce pro­blè­me est pro­mi­se par une nou­vel­le liai­son fer­ro­vi­ai­re (signes ÜH selon DIN 1052). Le « Tri- Z- Anker » ini­tie les forces du train et de la pous­sée dans le sys­tème d’ancrage par un vis­sa­ge incli­né, sans que la posi­ti­on inter­mé­di­ai­re (OSB ou plaque en fib­re de plât­re) ne soit sol­li­ci­tée sur des cise­aux. Les distances mar­gi­na­les ent­re les rac­cords dans le domaine de la plaque ne sont plus déter­mi­nan­tes. Le vis­sa­ge incli­né ent­raî­ne un démon­ta­ge de la force par lequel la vis n’a plus qu’à trans­fé­rer les forces de trac­tion et la posi­ti­on inter­mé­di­ai­re. L’installation est simp­le : le moy­en de liai­son est sim­ple­ment posé sur le revête­ment dans la zone de plan­cher et fixé à la tige et au seuil avec des vis incli­nées. La liai­son est capa­ble d’introduire des forces de trac­tion et de pous­sée des cas de char­ge 1 et 2 en tou­te sécu­ri­té par les vis obli­ques dans le zug­an­ker et, en fin de comp­te, par une che­ville dans la dal­le de plan­cher. Les enquêtes de rac­cor­de­ment et les tolé­ran­ces de mon­ta­ge con­nues jusqu’à 3 cm jusqu’à la dal­le de plan­cher sont pri­ses en comp­te. Le con­nec­teur est dis­po­nible dans les ver­si­ons Tri‑Z et Tri- Z- Mini à fai­ble trans­mis­si­on de puissance.

]
]
] [wpdm_​package id=‘1214’]

Kontakt aufnehmen

Anfrage

9 + 10 =

 

Addresse:
Pestalozzistraße 16 | 32257 Bünde
Telefon: +49 (0)5223 130889 
Öffnungszeiten: 8–16:00 Mo-Do, 8–12 Fr

you're currently offline